Porte du soleil
Des chercheurs, s'appuyant sur des analyses géologiques, des indices d'érosion, et des hypothèses sur la sédimentation, proposent des datations bien plus anciennes que celle qu'on apprend à vos enfants à l'école, remontant potentiellement à 15 000 ans av. J.-C. , voire au-delà.
La Porte du Soleil (Puerta del Sol), visible sur la deuxième image, est un monolithe emblématique de Tiwanaku, taillé dans un seul bloc d'andésite et orné d'un bas-relief central représentant le "dieu des bâtons" (Viracocha).
Une précision de taille et un polissage qui défient les outils lithiques traditionnellement attribués aux cultures précolombiennes.
Les encoches d'assemblage millimétriques, les surfaces planes d'une régularité quasi-industrielle, et les blocs en forme de "H" suggèrent l'utilisation de techniques avancées, potentiellement des outils en alliages durs ou des méthodes de découpe et de polissage encore inconnues.
L'étude attentive de ces mégalithes, en particulier à Puma Punku, pousse même les chercheurs les plus conservateurs à remettre en question les paradigmes académiques dans lesquels ils ont été formés. 🫣
Les académies, qui attribuent ces constructions à des populations agropastorales du premier millénaire apr. J.-C., peinent à expliquer la précision et l'échelle de ces ouvrages. L'expérience sur le terrain, l'observation directe des dalles et de leur traitement filigrané, conduit nombre d'entre eux à douter des fondements de la chronologie officielle, ouvrant la voie à des hypothèses alternatives sur l'âge et l'origine de ces sites.
Selon la chronologie officielle, il y a 15 000 ans – une période parfois avancée pour Puma Punku par les tenants d'une vision alternative – l'humanité était encore majoritairement composée de chasseurs-cueilleurs, tout juste sortis de la dernière période glaciaire. Ces groupes, que l'on imagine chassant des mégafaunes comme le mammouth ou exploitant des ressources végétales, n'auraient pas eu les moyens logistiques ni les connaissances nécessaires pour ériger des structures aussi complexes, ni pour produire des bas-reliefs aussi sophistiqués que ceux de la Porte du Soleil.
Les motifs iconographiques de Tiwanaku, comme les figures ailées et le "dieu des bâtons", ont conduit certains chercheurs alternatifs à avancer l'hypothèse d'une civilisation avancée, parfois décrite dans les récits mythiques comme des "êtres venus d'ailleurs", dont l'apparence pourrait évoquer des astronautes – une interprétation popularisée par des auteurs comme Erich von Däniken.
Cependant, une hypothèse plus terre-à-terre mérite d'être explorée : et si ces bâtisseurs étaient une branche de l'humanité, une population qui, à une époque reculée, avait atteint un niveau de développement technologique et culturel bien supérieur à ce que nous supposons ?
Cette idée remet en question l'échelle linéaire du progrès humain telle qu'elle est enseignée dans les manuels académiques.
En effet, si l'on observe l'évolution technologique des 200 dernières années, on constate une accélération exponentielle du progrès. Au début des années 1900, l'humanité découvrait la télévision en noir et blanc ; un siècle plus tard, en l'an 2000, nous disposions d'ordinateurs de pointe, d'Internet, et de technologies numériques révolutionnaires.
En comparaison, certaines civilisations anciennes ont mis des millénaires pour passer d'une technologie à une autre – par exemple, l'adoption de l'agriculture ou la maîtrise de la métallurgie, qui ont pris environ 1 000 ans dans des contextes comme le Néolithique proche-oriental. Cette disparité dans les échelles temporelles suggère que notre compréhension du développement humain est biaisée, peut-être même fondamentalement erronée.
Et si, dans un passé lointain, une partie de l'humanité – ou une civilisation aujourd'hui disparue avait connu une trajectoire de développement similaire à celle que nous avons expérimentée au cours des derniers siècles ?
Nous avons tendance à chercher des traces d'une ou d'une pour expliquer des anomalies archéologiques comme celles de Tiwanaku et Puma Punku, et si c'était nous ? Ou plutôt, une branche oubliée de l'humanité, qui aurait atteint un niveau de sophistication technologique et culturel avant de disparaître ou de régresser, peut-être à la suite de cataclysmes climatiques ou sociaux ? Ou de leur départ de la terre ?
Les mégalithes de Puma Punku, la Porte du Soleil, et les bas-reliefs de Tiwanaku pourraient être les vestiges d'une telle civilisation, dont les connaissances auraient été perdues au fil des millénaires. Cette hypothèse, invite à repenser notre vision de l'histoire humaine, non pas comme une progression linéaire, mais comme un processus cyclique, marqué par des périodes d'essor et de déclin.
La Porte du Soleil (Puerta del Sol), visible sur la deuxième image, est un monolithe emblématique de Tiwanaku, taillé dans un seul bloc d'andésite et orné d'un bas-relief central représentant le "dieu des bâtons" (Viracocha).
Une précision de taille et un polissage qui défient les outils lithiques traditionnellement attribués aux cultures précolombiennes.
Les encoches d'assemblage millimétriques, les surfaces planes d'une régularité quasi-industrielle, et les blocs en forme de "H" suggèrent l'utilisation de techniques avancées, potentiellement des outils en alliages durs ou des méthodes de découpe et de polissage encore inconnues.
L'étude attentive de ces mégalithes, en particulier à Puma Punku, pousse même les chercheurs les plus conservateurs à remettre en question les paradigmes académiques dans lesquels ils ont été formés. 🫣
Les académies, qui attribuent ces constructions à des populations agropastorales du premier millénaire apr. J.-C., peinent à expliquer la précision et l'échelle de ces ouvrages. L'expérience sur le terrain, l'observation directe des dalles et de leur traitement filigrané, conduit nombre d'entre eux à douter des fondements de la chronologie officielle, ouvrant la voie à des hypothèses alternatives sur l'âge et l'origine de ces sites.
Selon la chronologie officielle, il y a 15 000 ans – une période parfois avancée pour Puma Punku par les tenants d'une vision alternative – l'humanité était encore majoritairement composée de chasseurs-cueilleurs, tout juste sortis de la dernière période glaciaire. Ces groupes, que l'on imagine chassant des mégafaunes comme le mammouth ou exploitant des ressources végétales, n'auraient pas eu les moyens logistiques ni les connaissances nécessaires pour ériger des structures aussi complexes, ni pour produire des bas-reliefs aussi sophistiqués que ceux de la Porte du Soleil.
Les motifs iconographiques de Tiwanaku, comme les figures ailées et le "dieu des bâtons", ont conduit certains chercheurs alternatifs à avancer l'hypothèse d'une civilisation avancée, parfois décrite dans les récits mythiques comme des "êtres venus d'ailleurs", dont l'apparence pourrait évoquer des astronautes – une interprétation popularisée par des auteurs comme Erich von Däniken.
Cependant, une hypothèse plus terre-à-terre mérite d'être explorée : et si ces bâtisseurs étaient une branche de l'humanité, une population qui, à une époque reculée, avait atteint un niveau de développement technologique et culturel bien supérieur à ce que nous supposons ?
Cette idée remet en question l'échelle linéaire du progrès humain telle qu'elle est enseignée dans les manuels académiques.
En effet, si l'on observe l'évolution technologique des 200 dernières années, on constate une accélération exponentielle du progrès. Au début des années 1900, l'humanité découvrait la télévision en noir et blanc ; un siècle plus tard, en l'an 2000, nous disposions d'ordinateurs de pointe, d'Internet, et de technologies numériques révolutionnaires.
En comparaison, certaines civilisations anciennes ont mis des millénaires pour passer d'une technologie à une autre – par exemple, l'adoption de l'agriculture ou la maîtrise de la métallurgie, qui ont pris environ 1 000 ans dans des contextes comme le Néolithique proche-oriental. Cette disparité dans les échelles temporelles suggère que notre compréhension du développement humain est biaisée, peut-être même fondamentalement erronée.
Et si, dans un passé lointain, une partie de l'humanité – ou une civilisation aujourd'hui disparue avait connu une trajectoire de développement similaire à celle que nous avons expérimentée au cours des derniers siècles ?
Nous avons tendance à chercher des traces d'une ou d'une pour expliquer des anomalies archéologiques comme celles de Tiwanaku et Puma Punku, et si c'était nous ? Ou plutôt, une branche oubliée de l'humanité, qui aurait atteint un niveau de sophistication technologique et culturel avant de disparaître ou de régresser, peut-être à la suite de cataclysmes climatiques ou sociaux ? Ou de leur départ de la terre ?
Les mégalithes de Puma Punku, la Porte du Soleil, et les bas-reliefs de Tiwanaku pourraient être les vestiges d'une telle civilisation, dont les connaissances auraient été perdues au fil des millénaires. Cette hypothèse, invite à repenser notre vision de l'histoire humaine, non pas comme une progression linéaire, mais comme un processus cyclique, marqué par des périodes d'essor et de déclin.
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