Batterie ?

SARCOPHAGES OU BATTERIES ?

Le plus grand des parallélépipèdes présents dans le Sépulcre de Saqqarah mesure environ 3,85 mètres de long, 2,25 mètres de large et 2,50 mètres de haut, avec un poids estimé entre 60 et 70 tonnes, sculpté dans un seul bloc de granit rose ou de basalte. Comme la grande majorité des « prétendus tombeaux des géants » égyptiens, ces parallélépipèdes ont également été trouvés vides. Logiquement, ce ne sont pas des tombeaux, sinon nous y trouverions des cadavres, animaux ou humains.
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Que peuvent-ils être ? Deux éléments font réfléchir plusieurs chercheurs. (1) L'incroyable précision interne des parallélépipèdes, de l'ordre du millimètre. (2) La présence de deux encoches à la tête du couvercle. Les encoches se présentent sous la forme de deux incisions parallèles, placées sur la tête du couvercle du sarcophage. Elles sont symétriques, taillées avec une extrême précision et ne présentent aucun signe de burinage grossier ou de polissage manuel. Leur aspect suggère l'utilisation d'un outil de haute précision, potentiellement rotatif ou guidé mécaniquement.
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Ne sachant pas ce que c'est, plusieurs explications ont été proposées : 1. Points de levage. Improbable : les encoches sont trop petites et trop superficielles pour supporter un poids de plus de 30 tonnes du couvercle, 2. Système de verrouillage ou de fixation. Il n'y a aucune trace de crochets, de goupilles ou de matériaux secondaires. 3. Élément symbolique ou décoratif. Mais il n'y a aucune forme hiéroglyphique ou signification iconographique connue.

Les deux encoches présentes sur le couvercle de certains récipients du Serapeum de Saqqarah peuvent ressembler à des pôles électriques ou à des contacts énergétiques. L'idée que ces sarcophages gigantesques auraient pu faire partie d'un système énergétique est renforcée par la présence d'encoches symétriques et isolées, comme s'il s'agissait de véritables terminaux. Il n'existe aucun autre élément décoratif ou mécanique qui puisse expliquer leur présence. De plus, le matériau même des sarcophages - la granodiorite - est composé d'un pourcentage élevé de quartz, un minéral piézoélectrique qui peut réagir à la pression et aux vibrations en produisant des charges électriques. Cela rend plausible l'hypothèse que les encoches étaient des points d'accès ou d'interaction avec un champ énergétique généré, modulé ou contenu à l'intérieur.
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L'équivalent moderne de cette structure pourrait être décrit ainsi : les deux encoches correspondent aux broches d'un contact ou aux bornes d'un générateur ; le sarcophage lui-même joue le rôle d'un conteneur pressurisé ou d'un résonateur ; le matériau quartzeux se comporte comme un élément piézo-conducteur ; l'ensemble de la chambre souterraine, isolée et régulière, agit comme un écran ou un conduit blindé. Le fait que dans de nombreux cas, aucun reste humain n'ait été trouvé renforce l'idée qu'il s'agissait de dispositifs et non de tombes. Si tel était le cas, nous serions alors en présence d'une technologie oubliée, non pas symbolique, mais fonctionnelle, et les encoches seraient la signature discrète d'un savoir-faire technique avancé.
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AVANT NOUS, IL Y AVAIT QUELQU'UN

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