Bizarre
Je l'ai vue pour la première fois dans une petite collection privée à Zacatecas, au Mexique — un artefact comme je n'en avais jamais rencontré dans les musées ou sur les sites de fouilles. L'objet était froid, lourd, et avait indéniablement la forme de ce que nous appellerions aujourd'hui une tête "d'extraterrestre" — un crâne allongé, des yeux enfoncés, sans oreilles.
Mais ce qui m'a laissé sans voix, ce furent les gravures : des symboles et figures détaillés, étrangement similaires aux glyphes mésoaméricains… entremêlés de formes rappelant des vaisseaux spatiaux et des étoiles.
Les habitants l'appelaient La Cabeza del Silencio — « La Tête du Silence ». Aucun enregistrement officiel, aucune datation au carbone, juste des récits murmurés d'une grotte, d'une lumière, et de quelque chose d'enfoui… qui n'aurait jamais dû être découvert.
Certains archéologues la rejettent comme une fantaisie moderne. Mais en la tenant entre mes mains, j'ai ressenti autre chose. Pas de la peur, mais une forme de familiarité. Comme si ce n'était ni un avertissement ni un mystère — peut-être un souvenir.
Un fragment d'histoire laissé derrière, attendant simplement que nous soyons enfin prêts à le voir pour ce qu'il est.
Mais ce qui m'a laissé sans voix, ce furent les gravures : des symboles et figures détaillés, étrangement similaires aux glyphes mésoaméricains… entremêlés de formes rappelant des vaisseaux spatiaux et des étoiles.
Les habitants l'appelaient La Cabeza del Silencio — « La Tête du Silence ». Aucun enregistrement officiel, aucune datation au carbone, juste des récits murmurés d'une grotte, d'une lumière, et de quelque chose d'enfoui… qui n'aurait jamais dû être découvert.
Certains archéologues la rejettent comme une fantaisie moderne. Mais en la tenant entre mes mains, j'ai ressenti autre chose. Pas de la peur, mais une forme de familiarité. Comme si ce n'était ni un avertissement ni un mystère — peut-être un souvenir.
Un fragment d'histoire laissé derrière, attendant simplement que nous soyons enfin prêts à le voir pour ce qu'il est.
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